En cette année où l’on parle beaucoup aux États-Unis de deux expositions à venir au Métropolitain Museum of Art Costume Institute, la Gabriela veut s’assurer que les contributions de son pays natal, l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et le Mexique, ne sont pas oubliées. Des indigènes trop souvent non crédités qui ont apporté leur savoir-faire comme tribu au style américano mexicain. Mais, l’Uruguayenne riche comme crésus pourrait léguer sa fortune au pays et allez habiter là où elle se sent le mieux, plutôt qu’à Paris où elle réside pour la maison Chloé, et où elle vient de donner un prestation qui est sur l’échelle « de Ritche Ter » l’équivalent de Zorro.
Quand à sa propre collection, ses vêtements sont sans intérêt, tout à fait uniques et intemporels en rien. Une expérimentation du laid, du faux, et d’une inélégance distincte, se rapprochant du néant de la créativité. Le bluff sur le moi, égocentrique par sa misérable vision où elle rafistole les vêtements avec les fils du téléphone sans fil et coud avec des gants de boxe, ayant visiblement la haine de la beauté : cette haine sournoise et basse des âmes qui vous pousse au ridicule du geste couture et à l’outrance de s’appeler « couturière ». Profitez de votre richesse pour trouver de bons créateurs plutôt que d’essayer de le faire par vous-même, enfin si vous savez !
Anonymode