Une sorte de rondin bien formé, comme si les designers de la maison avaient pondu un vieil étron enrubanné dans un tissu pied de poule. Le maître de Granville en serait tout retourné. S’il n’y a pas de petit lutin en plastique sur la bûche de Noël, c’est que les marketeurs de la maison avaient peur que les couturiers maison les sucent à la fin du repas. Cela aurait fait mauvais genre.
Le processus de création de Dior s’apparente à celui d’une indigestion, sorte d’ingurgitation énorme sans mesure lourde en « Caca Ho » qui lève le cœur. Le talent de la maison s’exprime finalement sous la forme parfaite dans l’expectoration d’un bronze, ma foi bien moulé. Bon appétit ! Car entre la bobine qui ne me revient pas et l’aiguille à avaler, c’est le fil qui me reste entre les dents. Mais, il ne faut pas poèter plus haut que son luth. Non ?
FM