jeudi 23 avril 2020

BIMBOS DE LUXE BIENTÔT LA NORME

La peine des autres est toujours plus légère à porter. Si les bimbos devenaient le mètre étalon comme les crétins, alors, aujourd’hui, j’en deviendrais l’enfant prématuré de Quasimodo. Voilà donc ces maniaco-dépressifs du « posting Instagramic », des érotomanes du tweet vengeur ou des névropathes de Facebook qui croient que Rimbaud est le meilleur rôle de Sylvester Stallone. La preuve, ils croient que le paracétamol produit à 90 % en Chine et les Renault fabriquées au Maroc sont produits pour que notre vie soit meilleur, alors que cela ne permet seulement que d’accentuer les profits des classes dirigeantes pas plus intelligentes d’ailleurs.

Le système Français d’éducation constitue, en fait, une remarquable machine à fabriquer des crétins, qui pensent que le Canard WC est une révolution qui va libérer la ménagère d’un coup de bec ; « des science po-po certainement ! » Les Énarques ne sont pas en reste eux qui ont un schéma mental provenant d’un virus fabriqué à partir d’une mutation d’un génome d’ Ephad mono-neuronal.


Les crétins sont légion et nous vivons avec eux tous les jours « en bonne intelligence », un comble ! Ils croient qu’ils sont indispensable à la vie de la société, et certains à force de ne rien dire, et de ne rien créer, forment le silence des agneaux, et, peu à peu, se transforment en dictateur au sommet non pas de la chaîne alimentaire mais de la chaîne retardataire. J’en ai connu un, mais « Pet à son âme », il n’avait pas compris que faire du mal aux personnes qui vous entourent ne vous fait pas du bien, mais seulement mal à vous-même.

Les bobos du « Cartier » soulignent que les Bimbos sont un mouvement contemporain qui ouvre une voie dé-culpabilisante entre acceptation et rejet des normes, en plaidant le choix radical de l’auto-détermination tout en reconsidérant la culture Pop. Il s’agit de dépasser l’imaginaire et d’opposer les femmes « collabo » du patriarcat maquillées à des femmes rebelles, forcément androgynes et poilues, qui se seraient construites dans la pure opposition au système. Assurément, certains dîner sont poilants !

Epoque rieuse et méfiante, qui n’arrête jamais le récit de ses cauchemars et le spectacle de ses extases de soi-même, en un mot le selfie de Narcisse ou l’auto-satisfaction transformée en autodafé de l’Inquisition (« auto da fé » mot portugais venant du latin « actus fidei », c’est-à-dire « acte de foi », un comble ! Alors, quand les Bimbos seront la norme « H-OO Afflor », je continuerai à les supporter, car il est probable que l’une d’elles finisse sous les ordres d’une autre, une délectation en perspective.

Anonymode