mardi 7 avril 2020

CORONA MINUS, JE TE MERDE

Un minus microscopique mortel qui continue de voyager autour du monde et qui ne paye même pas ses billets d’avion. A lui seul, il vient, par les interdictions et les règles de distanciation sociale, forcer l’annulation des sacro-saintes Fashion Week de Paris – Londres et Milan, mettant en « Eh Moi  » les bimbos influenceuses de la planète. Même Didier Grumler avec sa mauvaise gestion n’y était pas arrivé ! Voilà un pouvoir bien extraordinaire pour un minus, dont la mère faisait des ménages biomorphiques, et dont la fille les défaisait, immense minus orgueilleux dévoré d’ambition, qui voulait manger le monde et finalement n’ayant trouvé à admirer et à aimer que sa personne. Un chacal de la virologie posthume qui continue sa triste besogne pour ramasser les restes des fièvres céphalées mortes, pour en vivre.

Il y a une autre grande contagieuse, qui se partage plus que jamais sur les médias sociaux, c’est l’humour. Ce serait donc ça le médicament miracle du moment : une bonne dose de rigolade, un dessin humoristique, un photo-montage, et un grand verre de bordeaux qui fera de nous des alcooliques patentés, car quand notre verre est vide, on le plains et, quand il est plein, on le vide.
Je ne peux pas m’empêcher de penser que ce petit minus, qui, à probablement, un petit zizi, utilise l’application de rencontres des hommes qui ont un petit pénis ! Avec deux centimètres de moins, celui-ci aurait été une reine à Birmingham Palace. Ce petit traître qui vous attaque sournoisement par derrière, un incubateur à diarrhée qui vous transmet la fièvre qui n’est pas celle du samedi soir, avec des courbatures dignes d’une nuit passée dans les bras de la plus belle femme du monde, Hélène, fille de Zeus et de Léda. Je pense qu’il ne serait pas exagéré de définir la violence de ce minus comme « une force faible ».

Pourtant, ce coronavirus sera la cause du plus grand déclin de la beauté depuis les années 60, une baisse extraordinaire et le plus probable des scénarii, car la séduction c’est le rapprochement et donc la contamination « au moins pour quelques mois ». Une autre forme de beauté va s’installer, car les masques qui empêcheront les poudres et vos « Houpettes sans air » seront à mettre au rancart. Mais, par contre les eyes-liners auront la part belle. Vous qui ne vouliez pas porter la burqa, vous voilà affublé du tchador « made in religion Corona », un comble ! Mais, ne vous inquiétez pas, car finalement l’an deux mille n’aura duré qu’un an.

Anonymode