mardi 30 juin 2020

GENS DE CONTRAVARIANCE

Construire un réseau de gens bienveillants ! Un réseau de gens bien éduqués où les voyous seraient irrémédiablement rejetés aux oubliettes de l’histoire ou dans cette cavité naturelle du gouffre de Padirac, pourquoi pas ?

Les jeunes générations sont des pères conscrits, pour qui la bassesse est finalement leur nourriture. Professeurs de brevet de moralité, ils sont la finesse de la flagornerie et de la supercherie, à l’image de ces programmes sur internet, des robots qui vous demande si vous êtes Humain : « trop robot pour être vrai « . Ces jeunes donc veulent rentrer dans nos réseaux pour nous infecter et réaliser leur besogne de malignité et de perversion. Ils sont des bêtes féroces accro à l’argent et feraient n’importe quoi pour en avoir, des Marmontel ennemis de Jean-Jacques Rousseau, qui n’ont que pour but, pas de changer le monde, mais veulent seulement changer de voiture (vous parlez d’un but !)

Ils utilisent les autres et les copies comme l’aurait fait une Xerox des années 80, sans qualité, ni définition, croyant avoir inventé l’écriture comme en Mésopotamie en 3500 Avant « Jésus triste ». Mais pour eux 3500 est synonyme du nouveau SUV qu’ils convoitent. Leurs femmes, quant à elles, sont des demi-mondaines prêtes à tout, et même jusqu’à la « fiel à scion » sous un bureau pour booster leur carrière et concilier l’utile à l’agréable. Les voici, ces trentenaires, appelés de ce nom ronflant « Millennials ». Incultes et agoraphobes, ils cultivent « les bulbes de narcisses » et leur égoïsme est aussi étendu que la lac Victoria aussi grand qu’une « une mère intérieure », ils ont encore leurs nounours pour dormir car cela les rassurent quand ils viennent d’escroquer un travailleur de son dur labeur, et cela juste pour venir commander des Nabuchodonosors au Nikki Beach de St-Tropez, et parader devant des bitumeuses Tartaro-mongoles, glandes « ma mère »  publicité pour Lactel le goût. 

Mais il est vrai que l’exemplarité n’est pas de mise avec « Bill Porte » qui achète un programme « DOS » d’un « con » frère pour le revendre dans une fenêtre de tir en 98,  et en faire la « Windows » de notre monde. Voilà les jeunes d’aujourd’hui : ils m’ennuient et me désespèrent, souvent agressifs car mal dans leur peau, en bref des humains de contrefaçon, qui nagent dans la fange de notre société pour produire ce panel de gens débiles et antisociaux qui, comme une vague insondable, finissent par nous submerger.

Anonymode.