Quand le Seigneur des Arnault achète Birkenstock, et devient le Marquis de la Tatane, la firme de la si distinguée famille italienne, Agnelli, rachète « Louboutin » pour l’associer à ses nombreuses et prestigieuses marques de luxe dont Ferrari. Il est vrai que, quand vous rentrez dans une Ferrari, le cuir de très haute qualité vient faire gageure à l’Empereur de la toile cirée monogrammée LV.
Nous avons là effectivement deux mondes opposés celui de l’argent des nouveaux riches et du mauvais goût, face à celui de famille qui vit dans le luxe depuis des générations et qui sait lier l’industrie de tout un pays à celui du raffinement de ce dernier. Leur palais de Venise sont bien plus grands et bien plus prestigieux que la Samaritaine, Art Nouveau qui se veut Déco.
A noter que « Nodelato », la marque de chaussures de la fille de l’homme de Tolède, sera peut-être rachetée par la Financière « La gâche » pour faire plaisir à son employé le jour où celui-ci sera démissionnaire à l’insu de son plein gré.
Le rouge est mis : Silence, on tourne sur le circuit de Modena. La guerre du luxe est relancée et avec les milliards de dollars déversés sur l’Europe par les Etats unis, il est à parier que de nombreuses acquisitions se feront encore car chacun sait que l’Empire Romain n’a jamais eu de frontière et que le Gaulois irréductible du Châtelet n’a qu’à bien se tenir.Anonymode
