Métal hurlant pour « one Million » de plus d’or et de verroterie, on reprend les cottes de mailles qui ont déjà fait recette et on revisite le mythe de « Mad Max » et de Tina Turner, en y ajoutant de la plume de Paon.
Demain, les journaleux à la « Le Flope Fringuant » diront : « hommage à son fondateur », moi je dirais fascination de Dossena pour l’or de son ascendance, fils de Corsaire de Louis XIV qui, sous couvert du roi, la soif de l’or leur permettait de dévaliser les galions Espagnols et Anglais. Spartiate certes, mais on ne peut pas dire que ce défilé était moche, ou beau, le problème c’est que l’on ne peut rien dire ! Tout est unique et finalement insignifiant, malgré une volonté quand même.
FM
