Matteo pense que Balmain a le potentiel pour devenir un véritable leader mondial des produits de luxe, mais chez Givenchy, malgré son allergie aux arachides – il bossait pour des cacahuètes ? – qu’on me passe le mot, ce n’était qu’un faiseur de bric-à-brac. Alors, changement de crèmerie, et dans un communiqué, le groupe Qatari demande d’accélérer le succès international de Balmain dans toutes les zones géographiques, en s’appuyant sur les « fondations solides » de l’entreprise. Mais, où sont les fondations, grand Dieu ou Allah ? C’est selon. Probablement on parle du tapis de dollars comme une corne d’abondance qui ne s’arrête jamais de couler comme le Titanic. Le seigneur des Arnault n’a pas vraiment de chance cette saison dans ce mercato de la mode, et visiblement dans l’ambiance délétère du groupe, les cadres lui envoient un message « courage, fuyons ».
Balmain ne sera jamais une maison de luxe et de mode avec le petit « Afro perruque » qui ne sait pas coudre une robe. Mais avec son contrat serré, il faudra que les Qataris le fassent voyager au Qatar, dont les forces de sécurité préventives continuent à arrêter arbitrairement les gays, les bisexuels et les transgenres afin de les soumette à de mauvais traitements en détention, pour ensuite, les expulser.
Une solution pour le cas Rouste-tintin. Mais, dans ce gloubi-boulga d’apostats sectaires qui n’y connaissent rien, qui va les renseigner ? Dans la mode, même les travestis craignent de s’enrober, un comble ! En tout cas, le Julien Doré de la mode chez Balmain sera Sgarbossa, qui veut dire en italien « Grossier », un must pour le luxe, non?
FM