Dior ainsi renforce sa branche de production interne avec un nouveau département industriel, chargé de muscler sa capacité de production globale sur le long terme et d’assurer la continuité de son savoir-faire. Moi, je pensais que c’était Dior qui fabriquait les produits Dior ! La vérité devient si rare de nos jours que bientôt, on fera appel à un historien.
Il y a aussi plusieurs entreprises Chinoises qui produisaient des produits de luxe en Italie qui ont fait l’objet d’une enquête pour des allégations d’exploitation. Vous savez, ces nouveaux esclaves modernes qui sont légion avec les Ouïghours en Chine. « Dior assure qu’il continuera d’offrir les meilleures conditions de travail à tous ceux qui contribuent, à la création des produits de la plus haute qualité de Dior », et bla bla bla bla bla…
En tant que directeur industriel, Giorgio Striano prendra ses fonctions à compter du deux janvier prochain. Il sera rattaché au seigneur et sera membre du comité exécutif de la maison, les voies du seigneur sont « impraticables ». Il sera basé à Milan et supervisera toutes les activités industrielles de la marque.
Après avoir entamé sa carrière chez Procter & Gamble, c’est la grande lessive dans le groupe, il a dirigé d’importantes opérations industrielles en Asie et aux États-Unis. Nicolas Carré succédera dimanche à Patrice Guillemin au poste de directeur industriel de la maroquinerie, des chaussures et de la joaillerie fantaisie. Comme quoi parfois, il faut des ingénieurs ! Et puis les chaussures pour une joaillerie réalisée avec les pieds, cela a du sens. Non ?
FM