Cher Parfumeur de scandale,
La bêtise est un cénacle fort affligeant, et l’humour d’un dégénéré a quelque chose de réconfortant. Ces quelques lignes, que vous avez consacrées à la parfumerie, prouvent que vous n’y connaissez rien, et que vous ne méritez pas la moindre attention. L’outrage que vous avez prodigué est une vieille habitude humaine dans les mains de fainéants, qui derrière leur clavier, cherchent et ne trouvent rien à dire. Arrêtez de nous bassiner, larguez les lunes et amarres, et perdez-vous dans cet océan de la connerie.
Alex Térieur
Réponse du courrier des lecteurs
Cher Alex Térieur, « grand fan d’outdoor », somme toute en Ex Térieur, vous êtes assis sur un pot de chambre, et vous jugez le vol des frères Wright que vous prenez pour un vol de corbeaux. Ainsi de vieux lion gâteux bien caché dans son fourré et livré aux médicaments, vous jetez Homère aux latrines. D’un œil immense, rien qu’un œil, qui est myope de surcroît, vous jugez de votre intelligence mycosée pour sauver « un parfum de femme » qui se porte bien sans vous.
Écrivain raté assurément, sur votre écritoire figure une chute de chimère engendrée par un gorille, et on peut lire sur le dossier de votre chaise le mot « fatalité ». Cessez, Monsieur, de vous soulager sur le mur de Facebook en pensant que vous vous soulagez au pied de l’Himalaya, car je ne suis pas si grand que cela. Vous me demandez de « larguer les lunes et les amarres », je vous réponds : larguons les nuls et les amers.
Cordialement,
FM