jeudi 30 janvier 2020

BOUCHRA JARRAR RETOUR EN GRASSE

Bouchra « j’rale » de ne plus être au calendrier Haute Couture. L’égérie fabriquée de toute pièce de patrons par D. Grumler, et la marocaine, la plus connue de Larache, nous donne, pour son retour sur la scène parisienne, un gilet sans dos orné de plumes et de perles, qui, elles, ne venaient pas du golfe Persique mais de Chine « made in plastique », un pantalon ample avec T-shirt de style ; « le T-shirt, une pièce bien connue dans la Haute Couture !!! » Et voilà, la nouvelle invitée du calendrier alors qu’ « On Aura Tout Vu », n’est même plus membre invité. Un comble !

Des bracelets en plumes d’inspiration « Massaï à la tronçonneuse », et réminiscence d’une version revisitée de sa ligne homonyme, pour un nouveau « slow gant ». Un jour, j’irai vivre en théorie parce qu’en théorie tout se passe bien. Une leçon de la parisienne dans un petit appartement passant par une chemise blanche, un pantalon, une écharpe bicolore avec une ceinture intégrée, tissu berbère et vous êtes « Soudan » passé du standard au chic merci « BoucheraZara ». La couleur caramel en hommage à ses racines nous « Rabat » notre caquet : « Ce sont mes couleurs d’ origine ». Le caramel colle au « palais » et menace la couronne.
Cependant, la plupart des femmes se tournera probablement vers le smoking à la St-Lolo et un chemisier en crêpe de chine ou un pantalon en gabardine ivoire avec des rayures pour définitivement ressembler à une femme du bassin parisien, celui que l’on trouve au fond du couloir à gauche. Bref, un retour de l’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans un vestiaire Ikea.

Anonymode