Et, si la mode se tourne vers les vêtements de sport, le cocooning wear n’inspire plus, et la popularité de la nouvelle série « Bridgerton » plaide en faveur du changement des vêtements confortables contre des vêtements plus fantaisistes pour rendre à la femme ses lettres de « roblesse. »
Adaptée des romans d’amour historiques de l’auteur Julia Quinn, et de son narrateur de style « Gossip Girl », ces opulents costumes inspirés de la société britannique de 1813, ainsi qu’un mélange de couples pluriéthniques, donnent à cette série un air de modernité au 19ème siècle.
La costumière Ellen Mirojnick, qui a créé les costumes d’époque, a fait réalisé sur mesure dans sa propre maison de couture d’Hollywood ou celle de Netflixwood, c’est selon. Les corsets, les ornements floraux, les bijoux et balconnets ont été conçus par 238 personnes, plus que l’ensemble des petites mains de la Haute Couture française. Alors quand Rousteing nous raconte qu’il a réalisé tout seul dans sa cuisine une centaine de modèles, il fait insulte à notre intelligence.
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