Aujourd’hui, je persiste et signe, car le flacon est beau, la frette en plastique métallisée l’est également, rappelant le fameux Guerlain où l’on peint les hyménoptères à la main. Quand le jus est arrivé sur la peau suave et délicieuse de ma « Dulcinée du Toboso » le soir, je défaillis. C’était un soir où l’hiver se fait attendre, et où la Belle rêveuse se penche à mon cou, me glissa des mots si doux, d’un ton si bas, que mon âme tremble et s’étonne de la nuit qui s’approche à grands pas.
Oui, je sais, vous allez penser que je suis payé par Guerlain. En réalité, il n’en est rien. J’ai véritablement adoré ce parfum, à la fois par son emballage, son flacon, et enfin, pour son jus. Le seul reproche, qu’on peut lui faire, c’est son prix, car il est assurément très élevé. Mais, c’est ainsi ! Quand on veut de l’excellence, on ne peut pas d’un côté reprocher d’avoir des flacons moches et des jus bas de gamme et de l’autre ne pas vouloir y mettre le prix pour avoir les plus belles choses du monde. Non ?
FM